Les ours polaires de l’Arctique vivent présentement une période très difficile. Les études démontrent que la pollution affecte leur environnement. Mais il y a de plus en plus de preuves qui démontrent que les polluants affectent non seulement la chaine alimentaire de l’Arctique, mais aussi le cerveau des ours polaires.

Premièrement, nous savons tous que la pollution affecte l’eau, l’air et la température. Il n’y a plus de doutes sur ce concept. Nous polluons trop. L’ours polaire, comme tous les autres beaux animaux de ce monde, est un animal fortement affecté par les changements climatiques.
Aujourd’hui, la température du Grand Nord n’est plus la même : l’air se réchauffe et la glace fond. Les changements climatiques réchauffent l’Arctique deux fois plus vite que le reste de la planète.
L’ours polaire dépend de la glace sur l’eau pour faire sa chasse marine. Moins de glace veut dire moins de nourriture pour l’ours polaire. En conséquence, on estime qu’environ 1000 ours polaires meurent chaque année à cause de la pollution et d’un manque de nourriture. Avec tous ces changements climatiques, les ours polaires marchent maintenant sur les territoires des grizzlis.
Deuxièmement, un certain nombre de produits chimiques fabriqués par l’homme se retrouvent dans la chaine alimentaire du Grand Nord et cela affecte le cerveau des ours polaires. Cela affecte leur comportement et leur capacité à bien survivre dans un environnement qui est déjà hostile.
Saviez-vous…
- Que ce mammifère peut vivre jusqu’à 35 ans dans la nature?
- Qu’un humain pèse en moyenne 62 kg et un ours polaire en bonne santé peut peser jusqu’à 450 kg?
- Qu’un ours polaire peut nager une distance de 100 km dans l’eau froide de l’Arctique?
- Que la fourrure et la peau de l’ours polaire sont très huileuses et cela permet à l’animal de sécher rapidement?