Le CIFS a tenu son assemblée générale annuelle le 16 décembre. Deux points expliquent le déficit : le manque d’une subvention provinciale ainsi que le manque de rassemblements.
«Le problème avec la pandémie, c’est qu’on ne peut pas se réunir», dit le président du CIFS, Gouled Hassan.
Le CIFS continuera son travail malgré la pandémie et les restrictions en citant trois grands projets. «Le premier projet va être sur le racisme et la discrimination […] le deuxième va être de continuer à travailler sur les projets communautaires pour soutenir ceux affectés par la pandémie et le troisième vas être sur continuer à créer des ponts et des liens entre la communauté traditionnelle et les nouveaux arrivants», dit M. Hassan.