La mission du centre est «d’offrir une alternative gratuite après l’école aux jeunes de la communauté», selon leur site web. «Ça aide à garder les enfants hors de la rue et leur donne l’occasion de rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts. Nous les amenons là où ils doivent être pour être heureux», dit la gérante du centre, Nicky Bélanger.
Ouvert en 1998, le centre est géré par une dizaine de personnes, y compris son conseil d’administration. Bien qu’accueillant habituellement les enfants dans son bâtiment physique à Chelmsford, le centre propose toutes ses activités sur Zoom depuis le début de la pandémie.
Parmi les évènements proposés en ce moment, il y a des soirées de jeu-questionnaire, le tutorat, les soirées «zoodle», les cours d’exercices et d’autres jeux.
«Nous voulons aussi offrir aux enfants un accès aux ressources dont ils ont besoin, comme pour les crises, de la thérapie, les médecins spécialistes… Dans l’ensemble, nous voulons qu’ils considèrent le centre comme un endroit sécuritaire où ils peuvent se rendre chaque fois que nous sommes ouverts», souligne-t-elle.
Il y a généralement un bon équilibre entre les enfants qui proviennent de toutes sortes de foyers. «C’est bien pour les enfants, car ils peuvent vraiment comprendre toutes sortes de perspectives», dit Nicky Bélanger. Dans l’ensemble, le personnel voit en moyenne dix enfants par jour.
Pour plus de renseignements, veuillez visiter https://www.raysidebalfouryouthcentre.org/ ou la page Facebook du Centre.

Les arts sont une part importante des activités du Rayside-Balfour Youth Centre.