La vitalité d’une communauté passe par les arts et la culture. La francophonie canadienne n’y échappe pas. Cependant, les élèves du secondaire hésitent à se tourner vers des professions culturelles en raison notamment des préjugés économiques. Face à leurs choix de carrière, les élèves du secondaire éprouvent de la difficulté à faire des choix professionnels informés.
Les organismes de la francophonie canadienne sont unanimes et accueillent favorablement le nouveau Plan d’action, avec une légère retenue sur le financement des organismes et sur le postsecondaire en français.
Partout au pays, des établissements postsecondaire continuent de traverser des difficultés et demandent au fédéral d’exécuter sa promesse d’appui.
Le gouvernement fédéral et la province de l’Ontario vont financer cinq projets pour développer les programmes d’éducation postsecondaire en français à l’Université d’Ottawa.
Ontario — «Les universités de petites tailles semblent résolument se tourner vers l’ancrage au milieu local… et en même temps vers l’internationalisation.»
Grand Sudbury — Le rapport final de la vérificatrice générale de l’Ontario blâme principalement l’administration et le conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne pour la débâcle financière.
Éditorial — Une annonce est venue battre le chaud et le froid chez ceux qui militent pour l’éducation postsecondaire en Ontario français.
Sudbury — Le plus récent numéro de la «Revue du Nouvel-Ontario» (RNO) est en quelque sorte un retour à la forme originale des premières éditions, qui étaient un peu plus revendicatrices.
Nord-Est ontarien — Le Collège Boréal obtient 8 millions $ sur trois ans des deux paliers de gouvernement pour étudier la création de programmes de baccalauréats.
Grand Sudbury — L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO) reçoit 24 900 $ de FedNor pour évaluer les besoins auxquels devra répondre l’Université de Sudbury.
Canada — Il y a beaucoup de fierté à être la première personne de sa famille à aller au collège ou à l’université, mais il y a aussi de l’anxiété et de l’incertitude. S’ils ne partent peut-être pas avec une longueur d’avance, ces étudiants apprennent vite à se débrouiller seuls dans le monde des études postsecondaires.